J’ai acheté un Mac

C’était un simple déclic. Je voulais un MacBook et j’ai tout fait pour l’avoir. C’était sans penser qu’une gym du cerveau s’imposait !

Pourquoi la décision ?

Tout a commencé lorsqu’un ami addict de la marque a réussi à me convaincre qu’il serait plus avantageux pour moi, que ce soit pour le boulot ou pour gérer mes communications personnelles ! Quand il m’a dit qu’un Mac permettait l’utilisation d’un plus grand nombre d’applications intéressantes, j’étais encore un peu sceptique. Un ordi, pour moi, servait à la rédaction, au stockage et au traitement des photos, à surfer sur le net, à regarder des films le weekend, alors pourquoi devrais-je penser à insérer d’autres applications ? Quelle serait la plus-value ? « Ah, mais tu sais, tu peux installer Windows sur un Mac alors que l’inverse est impossible ? » J’essayais d’évaluer la situation. Son dernier argument sur toute une liste assez technique a fini par me convaincre : un Mac enregistrait nettement moins de plantages qu’un PC de la même génération.

Premiers émois

mac-achatNous y voilà donc. J’ai troqué mon cher Packard Bell contre un MacBook et, un peu comme pour apprendre l’alphabet pour maitriser l’écriture, je me retrouve à apprendre l’ABC de la marque à la pomme. Enfin, j’exagère là. Déjà, dès que j’ouvre l’ordinateur, c’est comme un tout autre univers informatique qui s’est offert à moi. Les lignes de mon nouveau portable ne m’ont pas déçue. Le design épuré, il n’y a pas mieux. Mais passons outre les réflexions de bonne femme sur le côté esthétique. Voyons plutôt ce qui change dans les fonctionnalités. Alors là, pour une surprise, c’en est une ! La batterie peut être autonome pendant 12 heures… Un coup de fraicheur pour la nomade que je suis. Mieux encore, j’ai l’impression de travailler dans le calme parfait. Aucun clic, aucun son indésirable. A croire que cette machine respire calmement à mes côtés. Au moment où on effleure sa souris, on remarque que pour le Mac, un bouton suffit. Il faut juste glisser son doigt et appuyer du bon côté.

Mes nouvelles habitudes

Pour le prix que j’ai mis dans ce Mac, je vais bien le bichonner. Tant pis s’il me faudra des semaines entières pour arriver à ne plus faire de fausses manipulations. A l’ouverture du bureau, le menu démarrage n’existe pas. Faut pas creuser. Lorsqu’on tape un texte et que l’on a envie d’effacer, la touche « Backspace » est remplacée par « Delete » qui équivaut à la touche « Suppr » d’un PC. Désormais, pour rechercher des fichiers ou des programmes, je clique sur l’icône « Finder » au lieu de chercher un certain explorateur comme une folle enragée. Pour les touches et les raccourcis, c’est une toute autre histoire car il faudra laisser le temps et l’(in)expérience remodeler mon cerveau. Ça a été plus facile pour moi de me rappeler comment faire une capture d’écran : Command-Shift-3. Heureusement qu’Apple a prévu un tutoriel pour ses nouveaux utilisateurs pour apprendre à faire une copie d écran sur mac. Autrement, je pourrais trop facilement bousiller mon nouveau joujou.

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