La ruée vers l’or…

Coucou les filles ! Me revoilà après une journée éreintante. En effet, comme tout membre de la société féminine qui se respecte le sait (information vitale au bon fonctionnement des chromosomes XX) : 26 juin 2013, les soldes d’été commençaient.

Je trouve que j’ai fait preuve d’un excellent self-control, puisque je n’y suis allée que… dans l’après-midi dudit 26 juin ! Comme quoi, tout arrive. Je me suis alors mêlée à la horde de femmes, toutes possédées par le plus puissant des démons : le shopping. Et croyez-moi, il n’a rien à envier à Lucifer. Je suis sûre que nous envisageons toutes un sérieux détour par le confessionnal dimanche prochain… peut-être en portant nos nouvelles chaussures ?

Revenons à nos moutons, soit la frénésie des soldes. On se presse toutes pour être les premières à entrer dans un magasin, ou à trifouiller dans les piles de vêtements. C’est ce qu’on appelle, Mesdames et Mesdemoiselles, l’esprit de groupe. Enfin, c’est quand on est un tantinet idéaliste. Moi j’appelle ça l’esprit mouton, ou l’art et la manière de n’avoir aucune idée personnelle, mais seulement celles de la majorité. Et, oui, je m’inclus dans cette vaste décadence. Pauvre de moi.

Bref trêve de réalisations désagréables. Je me suis fait un immense plaisir de rassembler – pour moi et mon jules — un ensemble de choses dont je n’avais absolument pas besoin. Au passage, j’ai nettoyé mon compte en banque, le rendant encore plus propre qu’après Noël. Sauf que cette fois, les cadeaux me plaisaient vraiment et qu’ils étaient pour moi, au-delà même du sourire forcé à l’ouverture du paquet.

En conclusion, Mesdames et Mesdemoiselles, je vous donne un petit truc pour que votre jules à vous ne ronchonne pas trop à l’idée de faire la mule, porter vos paquets et/ou prêter sa carte bleue. Arrêtez-vous à une boutique de lingerie… Vous verrez, ça fait des miracles sur l’humeur de ces Messieurs !